toutes les grandes histoires d'amour ont commencé par une belle rencontre
Arrival, Denis Villeneuve, 2016, premier contact
Mot-clé - saint valentin
toutes les grandes histoires d'amour ont commencé par une belle rencontre
je ne comprends pas bien le sens de l'hommage national à Robert Badinter pour la saint-valentin
je ne comprends pas bien le sens de l'hommage national à Robert Badinter pour la saint-valentin
Laurence Clap : (émoticône coeur bleu) Robert.....
Inter Brette : Laurence Clap, moi aussi, Robert, coeur avec les doigts #jesuisRobert
Inter Brette : Laurence Clap au fait, vous qui êtes fan, vous ne sauriez pas comment je pourrais obtenir un poster dédicacé ? j'aimerais tellement en accrocher un dans ma chambre
Laurence Clap : Inter Brette je peux vous céder (a prix d'or) 1cm2 d'un de ses caleçons en coton bio....
Inter Brette : Laurence Clap, celui qu'il portait le jour du discours pour l'abolition à l'Assemblée Nationale ?
Granstef Ghostlapin : C'est pas lui le gars qui a abolit la peine d'amour ? ! ?
pour la saint-valentin, ma mie, je vous ai cuit mon visage en pain
la censure des sentiments
la censure des sentiments
End of the affair, Katrien De Blauwer
Katrien de Blauwer est née dans la petite ville provinciale de Ronse (Belgique). Après une enfance troublée, elle s’installe très jeune à Gand pour étudier la peinture. Plus tard, elle a fréquenté l’Académie royale d’Anvers pour étudier la mode. Une étude qu’elle a abandonnée. C’est à cette époque qu’elle réalise ses premiers cahiers de collages, en fait des études et des moodbooks pour des collections de mode. Plus tard, elle a commencé à collectionner, découper et recycler des images en tant qu’auto-investigation thérapeutique.
L’art est une garantie de santé mentale. Louise Bourgeois
Katrien De Blauwer se qualifie de « photographe sans appareil photo ». Elle collectionne et recycle des images et des photos de vieux magazines et journaux. Son travail est à la fois intimiste, correspondant directement à notre inconscient, et anonyme grâce à l’utilisation d’images trouvées et de parties de corps découpées. Ainsi, son histoire personnelle devient l’histoire de tous. Le collage opère une sorte d’universalisation, soulignant l’impossibilité de s’identifier à un seul individu, tout en permettant de se reconnaître dans l’histoire. L’artiste devient un intermédiaire neutre : sans être l’auteur des photographies, elle se les approprie et les intègre dans son propre monde intérieur, un monde qu’elle révèle à la troisième personne.
Nous ne voyons pas les choses telles qu’elles sont, nous les voyons telles que nous sommes. Anaïs Nin
Katrien De Blauwer donne un nouveau sens et une nouvelle vie à ce qui est résiduel, sauvant les images de la destruction et les inscrivant dans une nouvelle narration qui allie intimité et anonymat. Son travail traite donc essentiellement de la mémoire. Mémoire par accumulation plutôt que par soustraction. Son travail rappelle les procédés du photomontage ou du montage de film. La coupe servant de cadre qui marque l’essentiel.
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